Tous les thèmes, Street of dreams, Lazy Afternoon, Somewhere in the night, sont des standards, superbement réinterprétés, avec une mention spéciale pour I Wish you love, où on on reconnaîtra le fameux "Que reste-t-il de nos amours" de Charles Trenet. L'absence d'aspérité en ferait une excellente musique de fond, mais ce disque mérite de toute évidence bien mieux que cela.
Jazz on the web. Disques, concerts, archives filmées, découvertes et coups de coeur d'un passionné de jazz au hasard de ses tribulations sur le réseau.
mardi 22 mars 2011
Street of dreams
Encore un disque d'orgue, particulièrement original, puisqu'on y entend une formation orgue, guitare, vibraphone et batterie, ce qui est plutôt rare.
Larry Young, Bobby Hutcherson, Grant Green, et Elvin Jones en sont les protagonistes, et y créent un climat exceptionnel, sur de superbes thèmes pris en tempo lent à medium. Le pédalier de Larry Young entretient une très belle respiration , et le vibraphone de Bobby Hutcherson plane magnifiquement sur l'accompagnement orgue et guitare. Quant à Elvin Jones, rarement entendu en ce contexte si cool, il pousse les solistes en cascades de triolets sur ses caisses, et sa pulsation aux cymbales est comme d'habitude une merveille d'élasticité et de décontraction.
Tous les thèmes, Street of dreams, Lazy Afternoon, Somewhere in the night, sont des standards, superbement réinterprétés, avec une mention spéciale pour I Wish you love, où on on reconnaîtra le fameux "Que reste-t-il de nos amours" de Charles Trenet. L'absence d'aspérité en ferait une excellente musique de fond, mais ce disque mérite de toute évidence bien mieux que cela.
Tous les thèmes, Street of dreams, Lazy Afternoon, Somewhere in the night, sont des standards, superbement réinterprétés, avec une mention spéciale pour I Wish you love, où on on reconnaîtra le fameux "Que reste-t-il de nos amours" de Charles Trenet. L'absence d'aspérité en ferait une excellente musique de fond, mais ce disque mérite de toute évidence bien mieux que cela.
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire